Édito | Une Nuit sans rêve
Vous l'aurez compris : ma nouvelle, Une nuit, n'a pas été retenue pour la Finale du Grand Prix du Court Été 2016. Je vous avoue que cela ne m'aurait pas déplu de pouvoir défendre ce texte en finale, d'autant que cela s'est manifestement joué à peu de choses, mais c'est ainsi.
Je remercie, en tout cas, vivement celles et ceux d'entre vous qui ont soutenu mon texte par leurs votes et leurs partages.
Indépendamment de la compétition et de sa part aléatoire, la sélection initiale de ce texte par le Comité éditorial de Short Édition lui a donné une large visibilité débouchant, non seulement sur de nombreuses lectures (+ de 600 en un mois de publication), mais aussi sur des échanges riches et intéressants avec d'autres auteurs et/ou lecteurs. C'est là l'essentiel : pouvoir faire connaître et partager ses créations avec les personnes susceptibles d'être intéressées par celles-ci.
Par ailleurs, en vertu du contrat d'édition qui me lie à Short Édition, le texte restera disponible, pendant au moins 18 mois, sur le site de l'éditeur et sur les sites mobiles smart-trip.
Voilà, je crois que vous savez tout et que l'on peut refermer le chapitre nocturne.
Aussi, pour saluer ce radieux printemps 2016, je vous propose quelques textes stimulants : mélancolies, histoires de promesses avortées, de langues perdues et d'obsèques. Sans oublier quelques pistes musicales.
Rendez-vous le mois prochain pour célébrer l'été. Hmm...